Réunion publique sur l’aménagement de l’avenue Maurice Plantier


Patrick Michaille, nous rend compte de la réunion publique sur aménagement de l’avenue Maurice Plantier à la salle des fêtes le 18 janvier 2012.
8 élus, une centaine de participants
Le projet est de reprendre l’avenue Maurice Plantier entre la place des Logis et le parking de la Grande Terre (budget : 1,2 M€).

Les objectifs sont de rendre ce tronçon accessible aux piétons, aux poussettes et aux personnes à mobilité réduite. La vitesse y sera limitée à 30 km/h. Les arrêts de bus (Pertuis-Venelles) seront aménagés, les lignes aériennes enterrées, les bacs de déchets triés seront semi-enterrés.
Le parking de la Grande Terre sera agrandi à 86 places. 25 places supplémentaires seront aménagées en bordure d’avenue.
La circulation est de 4000 véhicules / jour. La voie doit pouvoir servir pour les transports exceptionnels.
Questions et observations du public :
La dérivation de la circulation lors des marchés crée des problèmes de circulation dans les rues adjacentes, du fait de la vitesse excessive.
Les abords de la salle de la Grande Terre sont fréquentés par les enfants et les personnes âgées. Il serait souhaitable d’y installer des jeux pour enfants et des bancs, et de faire la chasse aux crottes de chiens.
Les parkings adjacents (Poste, Isnard) ne font pas partie du projet.
Le ramassage des groupes sur le parking de la Grande Terre devra être reporté au parc des sports, pour libérer les places des voitures qui restent à la journée.
Pas de piste cyclable, mais des places de parking pour vélos à la Grande Terre.
Mettre un panneau de patrimoine historique pour expliquer l’origine de « venelles ».
Maintenir le panneau d’affichage « libre expression » près de la salle de la Grande Terre.

La municipalité a travaillé le projet avec les commerçants, mais pas avec les associations citoyennes (CIQ, AVE, AVEC).
Une piste de la rue du Grand Logis est réservée au stationnement minuté, pour 6 places de véhicules seulement. Cette piste aurait pu être utilisée pour les vélos, si on avait fait le choix de la priorité aux déplacements doux sur tout le tronçon rénové.
Ces choix montrent les limites de la politique municipale : faire de la communication, pas de la concertation.

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